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VERDUN - CHAMPS DE BATAILLE 14 - 18 

L’ouvrage de la Falouse

Situé au sud de Verdun, l'ouvrage de la Falouse fut construit entre 1906 et 1908, à 230 mètres d'altitude, en bord de Meuse.

Cet ouvrage en béton armé possède une tourelle de 75, 3 observatoires cuirassés, 1 tourelle de mitrailleuses, 1 guérite d'infanterie.

30 mannequins animent des scènes de la vie quotidienne de soldats français pendant la Première Guerre Mondiale.

 

 

 

 

 

 

L’Ossuaire de Douaumont

Le cimentière de Douaumont qui s'étend sur 144 380 m², contient 16 142 tombes de soldats français identifiés, dont 592 tombes de soldats musulmans.

Les corps de 130 000 combattants de la 1ère guerre mondiale, français et allemands, y reposent ensemble pour l'éternité.

 

Symbole du champ de bataille de Verdun, l’Ossuaire de Douaumont est une oeuvre privée, fondée par l'évêque de Verdun Monseigneur Ginisty avec l'aide du Général Valantin et Madame de Polignac, veuve de guerre pour donner une sépulture aux soldats non identifiés tombés sur le champ de bataille.

Commencé en 1920, le monument fut inauguré en 1932. Sur la façade, des écussons rappellent les dons de villes ayant aidées à la construction de l'Ossuaire de Douaumont.

D'une longueur de 137 mètres, le cloîtrede l'Ossuaire renferme des tombeaux en granit rose. Ils contiennent les ossements recueillis dans les 36 secteurs du champ de bataille.

Après la visite du cloître, ne manquez pas la projection du film Verdun des hommes de boue qui retrace la Bataille et profitez d’une vue imprenable sur le champ de bataille en accédant à la tour. Haute de 46 mètres, elle symbolise la poignée d'une épée fichée dans le sol jusqu'à la garde, représentée par les deux ailes du monument, en signe de paix éternelle.

 

 

 

 

 

 

 

La tranchée des Baïonnettes

Construit en 1919, grâce à un américain, Monsieur Rand, et inauguré en 1920, ce monument symbolise le sacrifice de tous les hommes morts, attendant un ordre et qui n’ont pas de sépulture propre. Il s’agit du plus ancien monument du champ de bataille.

 

 

 

 

 

 

Fort de Vaux

Construit entre 1881 et 1884, le Fort de Vaux est le symbole de l’héroïsme français, épopée du Commandant Raynal et de son dernier pigeon, lors de la bataille de Verdun.

 

Désarmé en 1915 comme le Fort de Douaumont, le Fort de Vaux entre dans la bataille de Verdun avec peu de moyens de défense.

En 1916, le Fort de Vaux souffrira de bombardements successifs qui détruisent entre autre la tourelle de 75. Du 2 juin au 7 juin 1916 sa garnison, sous les ordres du commandement Raynal, résiste à plusieurs assauts. Français et Allemands vont s’affronter au corps à corps pendant 6 jours et 7 nuits dans des galeries étroites, subissant l’attaque des fumigènes, des bombardements et des lance-flammes. Le manque d’eau potable et l’impossibilité de voir sa position être dégagée par des renforts, force la garnison à se rendre le 7 juin. A partir de cette date le fort est constamment pilonné par l’artillerie française. Le 3 novembre 1916, il est repris sans combat.

 

 

 

 

 

 

Fleury-devant-Douaumont. 

Fleury-devant-Douaumont était jusqu'au début de la bataille de Verdundans la Première Guerre mondiale, un petit village de l'agriculture française dans le département de la Meuse

Il est maintenant l'un des villages dits détruits (Villages detruits) qui n'ont pas été reconstruits. Le sol déjà maigres des hauteurs de la Meuse autour de la communauté a été contaminé par des explosifs, des munitions, des restes des gaz toxiques , des cadavres et des carcasses, de sorte que de nombreux agriculteurs ne pouvaient plus travailler la terre. Globalement, en France il ya neuf de ces lieux dévastés. Lors de la visite du site, il est toujours conseillé de rester sur les sentiers, car il resteratés et autres armes de guerre et des os humains sont trouvés.

 

Les Casemates Pamard (Casemate Pamard) sont un bunker standardisé pour deux mitrailleuse Hotchkiss. Elles ont été élaborées en 1917 par l'officier français. Pamard. Le corps est fait de béton armé avec une plaque de blindage particulière avec double embrasure. Au sous-sol il ya une petite pièce. L'accès était possible via un port situé dans la baie arrière, souvent le Casemates Pamard sont plus goujons directement relié à l'intérieur du fort.

À Fort de Souville trois de ces casemates ont été construites, deux autres ont été laissées en suspens.

 

 

VERDUN 

Le monument à la Victoire et aux soldats de Verdun

Construit au centre-ville sur les anciens remparts du castrum romain qu'on retrouva après les bombardements de la bataille de 1916, le monument à la victoire et aux soldats de Verdun fut inauguré en 1929.

Les 73 marches de l'escalier monumental conduisent à une crypte qui abrite les fichiers des soldats ayant reçu la médaille de Verdun.

Au sommet de la tour de 30 mètres de haut, la statue d’un guerrier, appuyé sur son épée et regardant vers l’Est. Deux canons russes, pris par les Allemands puis repris par les Français, encadrent la tour. Ce monument offre aux visiteurs une vue imprenable sur la ville.

La collégiale de la Magdeleine s'élevait à cet endroit. Ses ruines furent rasées on décida de construire à cet emplacement un « mémorial » rendant hommage aux soldats français ayant participé à la Bataille de Verdun.

Ce monument est chaque année le théâtre d’une cérémonie patriotique particulière. Le 1er novembre, la Flamme du Souvenir qui brûle sous l'Arc de Triomphe à Paris est acheminée à Verdun par les membres du Comité de la Voie Sacrée et de la Voie de la Liberté. Après une cérémonie au Monument aux Morts, la flamme est déposée dans la crypte du Monument à la Victoire. Veillée par les associations patriotiques, elle y brûle jusqu'au 11 novembre, jour anniversaire de la signature de l'Armistice 1918 où elle regagne Paris.

Ouvert du 1er avril au 11 novembre - visite libre uniquement l'après-midi.

 

 

 

 

 

 

 

Citadelle de Verdun

Sous la citadelle de Verdun, des galeries souterraines furent creusées entre 1886 et 1893. En 1914, la longueur totale des galeries était d’environ 4 km. À la fin de la guerre, on compte 7 km de galeries.

Organisées pour pouvoir abriter 2 000 hommes et les faire vivre, les galeries de la citadelle souterraine de Verdun se composaient de 6 magasins à poudre, 7 magasins de munitions, une boulangerie, un moulin, un central téléphonique et télégraphique, des machines élévatrices d’eau pour la ville et les forts, des cuisines et de vastes magasins. Ses fours à pain tournaient nuit et jour produisant 28 000 rations de pain par jour. Le 13 septembre 1916, une cérémonie fut organisée dans l’une de ces galeries afin de remettre à la cité de Verdun ses premières décorations.

Le 10 novembre 1920, fut désigné le soldat inconnu qui repose aujourd’hui sous l’Arc de Triomphe à Paris.

Aujourd'hui, vous pouvez visiter une partie de ses galeries souterraines en wagonnet. Un circuit vous fera découvrir la vie des Poilus. En fin de visite, vous assisterez à la reconstitution de la scène du choix du soldat inconnu.

Champs14-18
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